« Le Bonk ? J’ai sauté partout pendant plus d’une heure… J’étais déchaînée » Yvonne, 77 ans
Incapables de s’entendre sur une playlist de soirée, fatigués de se mettre sur la gueule au moment de régler la radio, cinq colocataires aux goûts musicaux très différents décident de créer Le Bonk, pionnier de l’Electro-Brass, bâtard hasardeux issu d’un coït dégénéré entre l’agressivité de la toute-puissante Techno des free party, la virtuosité virile du Balkan kitch, le cri enragé et souffreteux du Jazz New-Orleans et la nonchalance sexuello-sexuelle du groove latino. Cette chimère musicale a pour dessein d’être comprise et aimée systématiquement de l’humanité entière.
Jailli du bouillon populaire des cultures de la rue, émanation de l’internationale des ghettos de la Terre, Le Bonk veut produire un son efficace et explosif sur scène : chaque concert voit le public osciller entre l’émeute et l’orgie, poussant les agents de sécurité à la bavure. Bref, un cocktail Molotov qui n’attend que de taxer un zippo à un pélo pour s’enflammer…
Unable to agree on the playlists for parties, five roomates decided to create Le Bonk, pioneers of Electro-Brass music. Hazardous bastards born from the degenerate orgy between powerful free-parties’ techno beats, Balkan Kitsch’s virile virtuosity, New-Orleans jazz’s rabid and sick cry and the nonchalant sexyness of latin grooves, this musical chimera aims to be understood and systematically loved by the entire humankind.
Sprouted from the cauldron of street culture, Le Bonk provide an efficient and explosive sound on stage : each show sees the public oscillate between riot and orgy, pushing the venue’s security agents out of their mind. A true Molotov cocktail ready to blow.